Jean Jacques Goldman

Jean-Jacques Goldman, né le 11 octobre 1951 a Paris, est un auteur-compositeur-interprète français, également producteur, de variété et de pop rock principalement.

Après avoir joué dans le groupe des Red Mountain Gospellers, il fonde The Phalansters, puis intègre Taï Phong. Toutefois, c’est principalement sa carrière solo qui lui permet de s’imposer comme l’un des chanteurs les plus populaires de sa génération, avec des titres comme Il suffira d’un signe (1981), Quand la musique est bonne (1982) ou Je te donne (1985).

De 1990 à 1995, il fait partie du trio Fredericks Goldman Jones avec le Franco-Gallois Michael Jones et l’Américaine Carole Fredericks, avant de reprendre une carrière solo. Au total, il a vendu plus de 30 millions de disques.

En plus de ses propres chansons, Jean-Jacques Goldman écrit et compose pour de nombreux autres artistes, parmi lesquels Céline Dion et Johnny Hallyday, mais aussi pour des bandes originales de films et génériques d’émissions télévisées.

C’est aussi un artiste qui s’est considérablement engagé auprès d’œuvres humanitaires ou caritatives, notamment les Restos du Cœur, via les Enfoirés dont il est l’un des fondateurs, qu’il a parrainés pendant six ans et dont il reste le membre le plus assidu.

De décembre 2012 à décembre 2016, il est élu sans discontinuité personnalité préférée des Français

Puisque tu pars

Puisque l’ombre gagne
Puisqu’il n’est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l’oubli
Puisqu’il faut apprendre
À défaut de le comprendre
À rêver nos désirs et vivre des « Ainsi soit-il »

Et puisque tu penses
Comme une intime évidence
Que parfois même tout donner n’est pas forcément suffire
Puisque c’est ailleurs
Qu’ira mieux battre ton coeur
Et puisque nous t’aimons trop pour te retenir

Que les vents te mènent
Où d’autres âmes plus belles
Sauront t’aimer mieux que nous puisque l’on ne peut t’aimer plus
Que la vie t’apprenne
Mais que tu restes le même
Si tu te trahissais nous t’aurions tout à fait perdu,

Garde cette chance
Que nous t’envions en silence
Cette force de penser que le plus beau reste à venir
Et loin de nos villes
Comme octobre l’est d’avril
Sache qu’ici reste de toi comme une empreinte indélébile…

Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu’il est des douleurs qui ne pleurent qu’à l’intérieur
Puisque ta maison
Aujourd’hui c’est l’horizon
Dans ton exil essaie d’apprendre à revenir

Mais pas trop tard . . .

Refrain :
Dans ton histoire / Garde en mémoire . . .
Notre au revoir / Puisque tu pars . . .

J’aurai pu fermer / Oublier toutes ces portes . . .
Tout quitter sur un simple geste / Mais tu ne l’as pas fait . . .

J’aurai pu donner / Tant d’amour et tant de force . . .
Mais tout ce que je pouvais / Ça n’était pas encore assez . . .

lyricstranslate

paroles-musique.com

Since you’re leaving

Since the shadow is winning
Since there is no mountain
beyond the winds higher than the steps of oblivion
Since we must learn
For want of understanding it
To dream our desires, and live off of “so be its”

And since you think
Since you’re utterly convinced
That sometimes, even giving everything is not necessarily enough
Since it’s elsewhere
That your heart will beat better
And since we love you too much to hold you back

May the winds lead you
Where other souls, more beautiful,
Will know how to love you better since we can’t love you more
May life teach you,
But may you remain the same
For if you betray yourself then we would have lost you completely

Keep this gift
That we silently envied you for
That strength to think that the best is still to come
And far from our cities
As October is from April
Know that here remains an indelible imprint of you

No fuss, no tear
Poor and derisory weapons
Because there are pains that only cry inside one
Since today
Your home is the horizon
In your exile try to learn how to come back

And not too late…

Michel Pepsilas1 Published on 25 Aug 2013