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Enfin le Royaume
Francois Cheng : Poète, romancier, essayiste, auteur de monographies et de livres d’art, académicien, François Cheng est d’abord un tout jeune Chinois qui arrive à Paris en 1949, après la guerre sino-japonaise. Il est alors âgé de vingt ans et vient en France entreprendre une année d’étude. Mais la Chine ferme ses frontières et l’étudiant devient un exilé. Continue reading Enfin le Royaume
Quelques Airs Irlandais
EASTER SNOW
Source: Stanford/Petrie – Complete Collection, No. 1123 (1905)
The air : Easter Snow may have been composed by blind piper, Jimmy Fallon from Dysart in south Roscommon around the end of the 1800s. Caoimhin Mac Aoidh explains the title is an English version of the Gaelic place-name Diseart Nuadhain (St.Nuadhan’s hermitage or church). Although it should be said that the term is also used for the Hawthorn blossom that whitens the hedges in late spring.
The lyrics : “Eastersnowe” here is of unknown origin and age but was a favourite of the late Florry Brennan of Lanesboro, who got it from Seamus Ennis, who collected the tune from the Donegal traveller fiddlers, the Gallaghers.
Eastersnowe
In the twilight of the morning as I roved out upon the dew,
With my morning cloak around me intending all of my flocks to view.
‘Twas there I spied a fair one and oh, she was a beauty bright,
And I took her for Diana or the evening star that rules the night.
Mareka Naito 内藤希花 (fiddle)
Junji Shirota 城田純二 (guitar)
The Mountains of Pomeroy
Dr George Sigerson (1836-1925), a physician, scientist, writer and poet from Co Tyrone, wrote words to the tune, and they were published in 1869 in The Harp of Erin: A Book of Ballad-Poetry and of Native Song (p.229). The poem cites “The Mountains of Pomeroy” as the melody, so it is reasonable to assume that the tune existed under that name before Sigerson wrote words to it.
The morn was breaking bright and fair
The lark sang in the sky
When the maid, she bound her golden hair
With a blithe glance in her eye
For, who beyond the gay green-wood
Was a-waiting her with joy
Oh, who but her gallant Renardine
On the mountains of Pomeroy –>>
Harp: Mareka Naito
guitar: Junji Shirota
CHORUS
An outlawed man in a land forlorn
He scorned to turn and fly
But kept the cause of freedom safe
Up on the mountains high . . .
Kitty O’Neil’s
Kitty O’Neil (1855 – April 16, 1893) was one of the most celebrated American variety theatre dancers of the late 19th century. From around 1863 until 1892, she performed in New York City, Boston and elsewhere in the United States, and at her death was acclaimed by The New York Times as “the best female jig dancer in the world.” Kitty’s name is remembered today chiefly because of “Kitty O’Neil’s Champion,” a “sand jig” named in her honor that was first published in 1882 and revived starting in the 1970s by fiddler Tommy Peoples and other Irish traditional musicians. Here played as a barn dance, it is named “Kitty O’Shea’s” – should be “Kitty O’Neil’s”
Edel Fox, concertina — Niall Byrne, fiddle.
fiddle: Mareka Naito — guitar: Junji Shirota
Little Bird
Provided to YouTube by The Orchard Enterprises
Music Publisher: Sharon Shannon/New Recordings
Le Corbusier
Le Corbusier
Charles-Édouard Jeanneret-Gris, plus connu sous le pseudonyme Le Corbusier, est un architecte, urbaniste, décorateur, peintre, sculpteur et homme de lettres suisse naturalisé français, né le 6 octobre 1887 à La Chaux-de-Fonds et mort le 27 août 1965 à Roquebrune-Cap-Martin.
Il est l’un des principaux représentants du mouvement moderne avec, entre autres, Ludwig Mies van der Rohe, Walter Gropius, Alvar Aalto et Theo van Doesburg. Il a ainsi côtoyé Robert Mallet-Stevens.
Le Corbusier a également œuvré dans l’urbanisme et le design. Il est connu pour être l’inventeur de « l’unité d’habitation », concept sur lequel il a commencé à travailler dans les années 1920, expression d’une réflexion théorique sur le logement collectif. « L’unité d’habitation de grandeur conforme » (nom donné par Le Corbusier) ne sera construite qu’au moment de la reconstruction après la Seconde Guerre mondiale, en cinq exemplaires tous différents, à Marseille, Briey-en-Forêt, Rezé, Firminy et Berlin. Elle prendra valeur de solution aux problèmes de logements de l’après-guerre. Sa conception envisage dans un même bâtiment tous les équipements collectifs nécessaires à la vie — garderie, laverie, piscine, école, commerces, bibliothèque, lieux de rencontre.
Un usage malsonnant a tendance à préférer « de Le Corbusier » lorsqu’on se réfère à l’architecte, au correct « du Corbusier » que certains veulent réserver à l’immeuble d’habitation.
L’œuvre architecturale de Le Corbusier regroupant 17 sites (dont 10 en France, les autres étant répartis sur trois continents) est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO le 17 juillet 2016. Un itinéraire culturel européen intitulé « Destinations Le Corbusier : promenades architecturales » est créé début mai 2019.
L’œuvre et la pensée de Le Corbusier ont été particulièrement influentes sur les générations d’architectes de l’après-guerre et largement diffusées, avant d’entrer, avec la période du postmodernisme, dans une phase de contestation importante et régulière.
Il est le père de l’architecture moderne, étant le premier à remplacer les murs porteurs extérieurs par des piliers de béton armé, placés à l’intérieur des constructions.
Dès lors, les façades ne portant plus les étages supérieurs, il est possible de les habiller avec des cloisons légères et de multiples et très grandes fenêtres. Il joue alors avec les formes et les espaces, sans devoir tenir compte d’un quelconque alignement lié aux poids des étages supérieurs, cette contrainte ayant disparu.
Sa principale force a été de réduire considérablement les temps de construction. Il a été le premier a utiliser des techniques et des matériaux de base, permettant de construire une maison entière, sur plusieurs étages en quelques jours, comme son premier complexe, la cité Frugès de Pessac, dans la proche banlieue de Bordeaux, cité composée de cinquante petits immeubles, construite à raison d’environ un nouvel immeuble chaque semaine.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Corbusier
Le Corbusier – sa vie Le Corbusier est né Charles-Edward Jeanneret en 1887 au Chaux de Fonds dans les Juras suisses, à quelques kms de la frontière française. Sa famille était modeste de la classe moyenne et sa culture est faite de travail, de musique et d’exploration de la campagne le week-end. Bien qu’il ne soit pas aussi doué pour les études que son frère aîné Albert, il apprend rapidement des compétences en dessin et en peinture. Il s’inscrit à l’école d’art de La Chaux-de-Fonds, et son professeur de dessin, L’Eplatténier, est très important. Depuis l’âge de treize ans, Jeanneret avait appris l’art traditionnel local de la gravure de boîtes de montres, mais L’Eplattenier pensait que ce métier était en voie de disparition et il semble avoir encouragé le garçon à viser plus haut. Jeanneret voulait être peintre, mais L’Eplatténier l’a orienté vers l’architecture, dans le cadre du “Cours supérieur” qu’il a fondé en 1906. L’Eplattenier n’était pas tant intéressé par l’enseignement de “styles” à ses étudiants que par une attitude envers la nature et l’art. Comme Le Corbusier le rappelait plus tard, “Mon maître avait dit : ‘Seule la nature est inspiratrice, est vraie. Mais ne faites pas la nature à la manière des paysagistes qui n’en montrent que l’aspect. Notez la cause, la forme, le développement vital. ‘ on doit pénétrer sous l’apparence superficielle de la nature. Un objectif plus spécifique de l’enseignement de L’Eplattenier était de former, avec son “Cours supérieur”, un style artistique régional jurassien qui devait s’inspirer en partie des formes végétales et animales locales. Ces idées révèlent le profond amour de L’Eplattenier pour la nature et la région jurassienne, amour que le père de Jeanneret possédait également à un très haut degré, et qui entourait donc le garçon. Cet esprit de régionalisme jurassien se reflète dans la première maison que Jeanneret dessine à l’âge de 18 ans, pour un habitant de la région nommé Fallet – avec ses murs inférieurs en pierre brute, ses toits pentus avec de profonds avant-toits soutenus par des consoles en bois, et ses surfaces supérieures avec des motifs décoratifs basés sur un arbre, le pin. Mais le plus important pour l’évolution de Jeanneret est que L’Eplattenier lui fait découvrir le monde des livres et des idées : Il avait installé une bibliothèque dans la salle de dessin. Jeanneret avait la révélation des chefs-d’œuvre du passe et prit le gout de chercher et les comprendre. Un livre très important pour Jeanneret est L’art de demain d’Henry Provensal. Il est presque entièrement consacré à la théorie de l’art et à des questions philosophiques : on peut lire la que – “La vérité est que l’art obéit à des lois éternelles d’unité, de nombre et d’harmonie‘ . Jeanneret se rend ensuite en Italie, où il est inspiré par les cathédrales de Milan, Pise et Florence. Son voyage s’est terminé à Vienne. Puis, malgré les protestations de sa famille et de son professeur, il s’installe à Paris en 1908. Il poursuit son propre programme d’études dans les musées et les galeries d’art le matin. Il travaille dans un bureau d’architecte l’après-midi ou il découvre ce qui va changer sa vie : le béton armé. Apres ça il a partie en Allemagne. Là-bas, il a eu la chance d’être chargé d’écrire une étude sur les développements du design contemporain. Il se rend donc à Francfort, Düsseldorf et Weimar, et publie deux rapports. Il réussit également à obtenir un stage dans le cabinet de Peter Behrens. Cette expérience est suivie d’un désir de encore voyager. De Vienne, il descend le Danube avec un ami jusqu’à Constantinople, puis se rend dans les monastères du Mont Athos, qui l’inspirent. Tout comme le Parthénon, qu’il visite chaque jour pendant deux semaines. Il est rappelé de ses voyages par l’offre d’un emploi à Chaux de Fonds. Même qu’il le considéré comme un trou perdu de province, il se lance dans l’enseignement du dessin théorique et pratique à l’Ecole d’Art. Il a également ouvert un bureau officiel en tant qu’architecte praticien, bien qu’il n’ait aucune qualification professionnelle. Son premier grand projet est la conception et la construction d’une villa palatiale pour ses parents. La Maison Blanche est un design moderniste, qui con même a dépassé le budget. Quelques années plus tard, la maison a dû être vendue à perte, ce qui a abimait les économies de ses parents. Pendant la Première Guerre mondiale, il conçoit un système de construction modulaire et bon marché pour reloger les sans-abris. Il se rend en France et il continue à travailler sur de petits projets de dessins. A la fin de la guerre, il déménage pour vivre à Paris et il s’installe dans un studio de la rue Jacob. Il a participé à son premier concours d’architecture, qui consistait à concevoir un abattoir industriel à grande échelle pour Nevers, dans le centre de la France. Il a également créé une entreprise de fabrication – des briques en béton armé. Il se lie d’amitié avec son voisin, l’artiste Amédée Ozenfant. Ozenfant et lui collaborent à la publication de leur manifeste artistique intitulé – Après le cubisme – et ils exposent des tableaux ensemble. À cette époque, il considérait ses entreprises commerciales et ses travaux de design comme de sources de revenus pour soutenir son ambition de devenir peintre. Avec Ozenfant, il lance la revue avant-gardiste L’Esprit Nouveau. En 1920, il change son nom de Charles-Edouard Jeanneret en Le Corbusier. Il conçoit une autre forme d’habitat modulaire, appelée Citrohan, en forme de boîte à chaussures, utilisant béton, de l’acier et du verre. Son objectif est de réaliser des bâtiments d’une simplicité spartiate qui sont remplis de lumière. Il rencontre et il commence à vivre avec Yvonne Gallis, une femme méditerranéenne qu’il garde plus ou moins secrète pour sa famille. Il construit un palais moderniste pour le banquier et collectionneur d’art Raoul La Roche et publie en 1923 une importante série d’essais théoriques sous le titre Towards a New Architecture. Le partenariat avec son jeune cousin Pierre Jeanneret est florissant et ils doivent employer de plus en plus d’assistants. Le Corbusier passe toujours ses matinées à peindre, mais à partir de ce moment-là, il garde cet aspect de sa vie presque secret. Il se plaint d’être épuisé par les exigences de sa profession, mais en fait, ses heures de bureau se situent l’après-midi, entre 14 et 17 heures. Les critiques et le grand public se moquent de ses idées, car ses projets font passer la fonctionnalité avant tout. La maison du futur est dotée de caractéristiques que nous considérons aujourd’hui comme allant de soi : armoires et rangements intégrés, pièces ouvertes, murs simples, grandes fenêtres de taille industrielle et meubles qu’il choisit chez les fabricants d’équipements hospitaliers. Pourtant, malgré les critiques, il devient un architecte célèbre. Le Corbusier s’est engagé dans des projets à tous les niveaux de portée et de taille. Pour les intérieurs, il a conçu des fauteuils et des tables de séjour ; pour les logements sociaux, il a créé des immeubles résidentiels à plusieurs étages ; et au niveau de la ville, il a voulu remodeler les zones urbaines – pour admettre la lumière et l’espace là où il n’y avait que des rues étroites et encombrées Il est également invité en Amérique du Sud, où il donne des conférences sur l’urbanisme. Il prépare ses conférences à l’avance, puis les donne sans notes, illustrant ses arguments par des schémas et des dessins rapides tout en parlant. Lors de la tournée de conférences, il rencontre Joséphine Baker, pour laquelle il va dessiner une maison à Paris. Il en profite pour avoir une liaison avec elle pendant leur voyage transatlantique de dix jours vers la France. En 1930, il marque deux étapes décisives dans sa vie publique : il prend la nationalité française et se marie avec Yvonne. Deux ans plus tard, il présente ses plans pour le Palais des Soviets à Moscou, persuadé que ses idées seront acceptées par ce régime. Mais Joseph Staline a déjà décrété que toute architecture destinée au prolétariat doit être de style gréco-romain. Il connaît un plus grand succès un an plus tard avec la Cité de Refuge – un foyer spécialement conçu pour les enfants et les sans-abris qu’il construit pour l’Armée du Salut à Paris. Lorsqu’il se rend en Amérique pour une autre tournée de conférences, il trouve que les gratte-ciels sont trop petits et trop rapprochés. Il est déçu qu’aucun grand projet urbain ne résulte de son contact avec le Nouveau Monde. Lorsque la guerre éclate en Europe, il est recruté comme conseiller au ministère de la guerre. Il travaille à la conception d’une usine de munitions modulaire, mais lorsque les Allemands envahissent et occupent Paris, il se réfugie au quartier général Pétain à Vichy. C’est à ce moment-là que ses idées sur la “modernité”, “l’ère de la machine” et l’urbanisme se mêlent trop facilement à l’idéologie fasciste. Sa participation au régime n’était en rien passive ou accidentelle. Il recherche activement le soutien de Pétain lui-même et il est finalement récompensé par un poste au sein de la commission “Habitation et Urbanisme” de Paris. Ce comité n’aboutit à rien et Le Corbusier retourne à Paris pour diriger une sorte d’école privée d’architecture. Lorsque la France est libérée par les Alliés en 1944, Le Corbusier se contente de se mettre à la disposition du gouvernement De Gaulle et, par la suite, il blanchit sa collaboration des années de guerre. Il se voit confier un projet de rêve : la construction d’un immense immeuble d’habitation moderniste à Marseille. Il travaillait sur plusieurs projets simultanément lorsqu’il a été invité à participer à la conception du nouveau siège des Nations unies à New York. Il suppose qu’il en sera l’architecte principal, même s’il suggère qu’Alvar Aalto, Walter Gropius et Mies van der Rohe fassent partie de l’équipe. L’aventure américaine a renforcé sa réputation – et son ego – déjà surchargés. Il laisse sa femme au foyer plonger de plus en plus dans l’alcoolisme. De temps en temps, il prend l’avion pour vérifier le projet de Marseille, qui fait l’objet de critiques de la part des bureaucrates locaux pour ce qu’ils considèrent comme un modèle excentrique. Ils s’opposent les cuisines situées dans le même espace que les salles à manger, ce qui est considéré comme révolutionnaire à l’époque. Dès son absence en France, d’autres personnes reprennent son projet pour le Nations unies, qui est finalement attribué à l’architecte américain Harrison. Mais Le Corbusier a eu des compensations – notamment une commande pour concevoir une nouvelle mini-ville dans la capitale Colombienne, Bogota. Il a également reçu l’offre de concevoir un nouveau siège pour le gouvernement de Punjab à Chandigarh, en Inde, un projet soutenu par Pandit Nehru. C’est son rêve d’urbanisation totale qui devient réalité. Il est dans son élément, voyageant en première classe entre trois continents. Pendant qu’il construisait cette ville, il s’est construit une gite de vacances dans le sud de la France – Le Cabanon. C’était une structure simple en forme de boîte qui, de l’extérieur, ressemblait à une cabane en bois. Mais l’intérieur était recouvert de contreplaqué coloré, ce qui créait une déclaration moderniste. La construction de la pièce unique a même été rendue contiguë au restaurant local, dont il s’était lié d’amitié avec le propriétaire. Cela a permis à Yvonne d’avoir de la compagnie pendant ses nombreuses absences. Son chef-d’œuvre national, L’Unité d’Habitation, est achevé et inauguré en 1952. Elle abrite plus que trois cents familles, possède des magasins et des espaces de loisirs intégrés, ainsi qu’un jardin sur le toit avec une crèche et une piscine. Une deuxième version est commandée pour Nantes, et il commence à travailler sur ce qui deviendra l’un de ses bâtiments les plus célèbres : la chapelle de Ronchamp. Ce projet a été conçu pour remplacer une simple église qui avait été détruite par les bombes allemandes dans les tout derniers jours de la guerre. Elle est devenue célèbre pour sa simplicité austère et son toit bizarre. Sa femme continue à négliger sa santé, continue à boire et finit par mourir en 1957. Peu de temps après, Le Corbusier développe une installation multimédia pour l’Exposition universelle de Bruxelles. Elle comprend des films projetés et des compositions musicales avant-gardistes. Lorsque sa mère meurt à l’âge de quatre-vingt-dix-neuf, Le Corbusier a perdu les deux femmes sur lesquelles reposait sa vie sentimentale. Il continue seul, soutenu par une pléthore d’honneurs publics. Il reçoit tellement de diplômes honorifiques qu’il commence à les refuser. Pourtant, les frustrations professionnelles continuent. Deux projets majeurs à Paris et à New York ne donnent rien. Face à ces obstacles, il se bat avec encore plus de virulence que jamais, jusqu’à ce qu’il finisse par mourir en faisant ce qu’il a fait toute sa vie d’adulte : nager dans la mer en face son cher Cabanon de Roquebrune-cap-Martin. Depuis ce jour, sa réputation de génie architectural a été quelque peu contestée. Ouvrez n’importe quel magazine d’architecture ou de décoration intérieure aujourd’hui et vous verrez que son style visuel est omniprésent. La nouvelle norme est celle de la décoration minimaliste et des espaces ouverts. Mais pour l’anecdote, les toits de nombre de ses bâtiments avaient des fuites, manque de formation comme architecte peut être. Aussi il concernait avec des idées plus haut – comme il a écrit – L’architecture, plus qu’un autre art, témoigne de la manière dont une culture pense et pratique la terre, de sa façon de l’habiter.
L’élection de février 2020
Le Sinn Fein devient la deuxième force parlementaire en Irlande
Par Le Figaro avec AFP Publié le 11 / 2 / 2020 Continue reading L’élection de février 2020